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Dernières actualitésÉvènement
Au cours des dernières années, de nombreux domaines de synergie naturelle sont apparus entre les géosciences et la physique des astroparticules. Elles partagent une culture scientifique commune fondée sur des objets d'étude, des méthodes et des approches similaires. L'APPEC, le GEO-8 et l'Academia Europaea organisent un colloque les 11 et 12 février 2019 à l'IPGP, en présence des chercheurs impliqués et des représentants des agences concernées. Brève
La collaboration du FCC (Future circular collider) a publié le 15 janvier un document conceptuel décrivant le projet de construction au CERN des nouveaux accélérateurs de 100km de circonférence qui succèderont au LHC. Cet ensemble permettra d’effectuer des mesures d’une précision inégalée du modèle standard et d’accéder à des énergies aujourd’hui inaccessibles pour découvrir de la nouvelle physique. Le programme FCC pourrait démarrer au plus tôt en 2040 et prendre ainsi le relais du High-Luminosity LHC. Ce rapport est un élément important pour la mise à jour de la stratégie européenne en physique des particules lancée sous l’égide du conseil du CERN en 2018, qui rendra ses conclusions au printemps 2020 Actualité
Le projet AugerPrime est destiné à améliorer les performances de l'observatoire de rayons cosmiques Pierre Auger, une Infrastructure de Recherche internationale qui déploie son réseau de 1660 détecteurs autonomes sur 3000 km2 dans la pampa argentine. La collaboration prévoit le déploiement de plusieurs centaines de détecteurs à scintillations (3,8 m x 1,3 m x 0,1m, pour un poids de 150 kg) dont la réalisation est répartie entre 6 laboratoires européens. Le LPSC a la charge d'assembler et de tester 90 de ces détecteurs. Les 45 premiers réalisés et validés en 2018 s'apprêtent à être expédiés en Argentine. Ils vont être chargés dans un container pour être acheminés par voies maritimes et routières jusqu’à Malargüe, ville voisine de l'Observatoire et site du campus local. La prochaine expédition aura lieu à la rentrée 2019. Chaque détecteur à scintillation sera installé sur un des détecteurs Cherenkov à eau qui constituent le réseau de détection au sol, complétant ainsi la caractérisation des grandes gerbes atmosphériques produites par les rayons cosmiques d'ultra haute énergie. Actualité
Des noyaux de Bore-20 et 21 ont récemment été produits pour la première fois 2 au RIKEN-RIBF situé au Japon. Cette performance aux limites des capacités actuelles est issue d’une collaboration internationale1) dirigée par des physiciens du LPC-Caen. Elle permet des tests extrêmes de modèles nucléaires. Les deux isotopes créés à partir des faisceaux relativistes d’azote-22 et de carbone-22 ne sont pas liés et n’existent que sous la forme de résonances. Trois états résonants du bore-20 qui se désintègrent en bore-19 plus un neutron ont été observés. Dans le cas du bore-21, une seule résonance a été observée qui se désintègre directement en bore-19 plus deux neutrons, ce qui fait du bore-21 un candidat pour la décroissance par émission « dineutron ». Évènement
La 2ème session du MOOC « Au cœur de la radioactivité médicale » replace les enjeux de l’utilisation de la radioactivité en santé. À la croisée de plusieurs disciplines scientifiques, il associe des spécialistes de la physique nucléaire, de la radiochimie et radiopharmacie, de la biologie, de la médecine nucléaire et de la radiothérapie, mais aussi des sciences de gestion et de la psychologie. Brève
Le neutrino est l’une des particules élémentaires les plus mystérieuses. Depuis que Wolfgang Pauli a prédit sont existence en 1930, les physiciens n’ont eu de cesse de le traquer et d’étudier ses propriétés. Car cette particule étrange, sans charge électrique, de masse quasi nulle et interagissant très faiblement avec la matière, pourrait permettre de percer bien des mystères de la physique des particules et de l’Univers... Antoine Kouchner (directeur de l’APC) et Stéphane Lavignac (chercheur à l’Institut de physique théorique de Saclay) retracent l’histoire passionnante du neutrino et nous font découvrir les grandes expériences consacrées à ce messager de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. Brève
La source d’ions radioactifs est un élément clé des études en physique nucléaire. Elle permet de pousser les études de structure des noyaux exotiques de plus en plus loin de la stabilité à condition de maximaliser son efficacité et de recourir à des techniques de purification de plus en plus élaborées. La source d’ions laser RIALTO de l’IPNO a produit des faisceaux d’Indium purs avec un facteur d’amplification inégalé jusqu’alors. Cette source permet une ionisation sélective d’un seul élément du tableau de Mendeleïev à la fois avec un gain de 50 obtenu sur l’isotope radioactif 127In éloigné de 13 masses de l’isotope stable. Brève
Quelle est l’influence de la latitude sur le flux de rayons cosmiques ? Les scientifiques se sont posés cette question il y a près d’un siècle lorsqu’ils cherchaient à comprendre la nature du rayonnement cosmique. On sait maintenant qu’il s’agit de particules chargées en provenance du Soleil, de notre Galaxie voire d’au-delà et donc qu’elles subissent l’influence du champ magnétique terrestre : le flux de rayons cosmiques augmente lorsqu’on s’approche des pôles. Cet effet est-il mesurable avec le détecteur pédagogique de muons Cosmix qui tient dans une petite valise ? C’est pour répondre à cette question que des élèves du lycée du Tampon à la Réunion et leur professeur, Gérard Cavalli, ont embarqué une mallette Cosmix sur le Marion Dufresne, un navire français en partance pour les Terres australes et antarctiques françaises. Événements grand public
Samedi 8 décembre 2018 à 15h, au Musée CurieEn 1898, Pierre et Marie Curie découvrent l'existence de deux éléments chimiques inconnus auparavant qu’ils nomment Polonium et Radium. A l'occasion des 120 ans de cette découverte, nous allons retracer les grandes étapes de cette aventure à la fois scientifique, historique et humaine. Nous la raconterons en mettant en avant le rôle des Curie et de leurs collaborateurs dans le contexte historique et scientifique de l'époque, ainsi que les outils techniques qui ont été décisifs pour la découverte. De nombreuses questions fondamentales, mais pas simples pour autant, se poseront au passage : qu'est-ce que le radium et le polonium ? Qu'est-ce que la radioactivité ? Qu'est-ce qu'une découverte scientifique ? Réservations obligatoires. Appel à candidatures
Le Laboratoire de physique nucléaire et des hautes énergies (LPNHE) de Paris est une Unité Mixte de Recherche (UMR 7585) du CNRS-IN2P3, de Sorbonne Université et de l’Université Paris Diderot. Le laboratoire est situé dans le campus Pierre et Marie Curie de la faculté des Sciences et Ingénierie de Sorbonne Université. Le LPNHE est composé d’une cinquantaine de chercheurs et enseignants-chercheurs et environ quarante-cinq ingénieurs, techniciens et administratifs permanents, ainsi que d’une trentaine de personnels contractuels (CDD IT, post-doctorants, doctorants). Les activités scientifiques et techniques du laboratoire s’exercent autour de la physique de particules, de la cosmologie observationnelle, de la physique du neutrino et de l’astronomie gamma. Les candidatures au poste de directeur sont à adresser à Ursula Bassler, Bertrand Meyer et Reiner Veitia avant le 14 janvier 2019, ainsi que toutes questions attenantes. Il est demandé à la candidate ou au candidat de joindre un curriculum vitae et une lettre de motivation. Les dossiers de candidatures seront transmis par les tutelles aux membres du Search Committee mis en place, associant des représentants des tutelles et des représentants du laboratoire. La prise de fonction est prévue dans le courant du premier semestre 2019.
Prochains évènements scientifiques
Le 11 décembre 2018, SLAC National Accelerator Laboratory (Etats-Unis)Ce colloque commémorera cette remarquable aventure scientifique en mêlant un retour sur les résultats de BaBar, des souvenirs plus personnels et une réflexion sur l'avenir de la physique des saveurs
Les 13 et 14 décembre prochains, au LAL (Orsay)Depuis quelques années, la fabrication additive (impression 3D) est devenue un procédé de fabrication incontournable, qui redéfinit entièrement la façon de concevoir et de développer des objets ou des ensembles mécaniques. Un colloque, financé par P2I et P2IO, sur la fabrication additive métallique pour la physique des deux infinis se tiendra à Orsay les 13 et 14 décembre prochains. La journée du 13, en français, mettra en perspective les programmes en cours dans notre communauté scientifique et les principaux défis liés à la fabrication additive. La journée du 14, en anglais, fera le point sur les opportunités d’utilisation future de ces technologies pour nos projets. L’inscription est gratuite pour les personnes travaillant dans des laboratoires de recherche. Pour les industriels ce colloque coûte 50 € par jour. > Toutes les évènements scientifiques
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