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Films, documentaires

 

Les films et documentaires

 

Ondes gravitationnelles les détecteurs de l'extrême

100 ans après la publication de la théorie de la relativité générale d'Einstein, une équipe internationale vient d'en confirmer l'une des prédictions majeures, en réalisant la première détection directe d'ondes gravitationnelles. Celles-ci ont été, en effet détectées, le 14 septembre 2015 par deux détecteurs jumeaux de Ligo aux Etats Unis. Cette découverte ouvre une nouvelle fenêtre sur l'Univers avec l'observation d'ondes gravitationnelles, qui sont des infimes ondulations de l'espace-temps, provenant d'une collision de deux trous noirs. Une centaine de scientifiques travaillant dans six laboratoires associés au CNRS ont contribué à cette découverte, au sein de la collaboration Virgo.
Réalisation : Nicolas Baker - Production : CNRS Images, 2016, 6 min.

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Le mystère Ettore Majorana, un phycisien absolu

Ettore Majorana, né en Sicile en 1906, fut un physicien théoricien hors norme à un moment où la physique inventait des concepts décisifs. Mais le 26 mars 1938, à 31 ans, il embarque à Naples pour Palerme et disparait sans laisser de trace. Étienne Klein, physicien français, auteur de l'ouvrage En cherchant Majorana, raconte l'enquête qu'il a menée sur ce génie qui avait prédit l'existence du neutrino, la particule pouvant élucider le mystère de la matière noire et de l'énergie sombre. Sa théorie, restée oubliée pendant 35 ans, est devenue incontournable depuis les années 60. Enrico Fermi disait de lui : « Dans le monde il y a plusieurs catégories de scientifiques : ceux qui font de leur mieux, et ceux, de premier plan, qui font de grandes découvertes, fondamentales pour le développement de la science. Et puis, il y a les génies, comme Galilée et Newton. Ettore était de ceux-là. ».
Réalisation : Camille Guichard - Coproduction : Harbor Films et Terra Luna Films, 2016, 52 min.

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Le mystère des rayons cosmiques

Les rayons cosmiques balayent la Terre en permanence. Ceux de basse énergie, très nombreux, proviennent pour la plupart du Soleil. Ceux de hautes énergies et même de très hautes énergies, beaucoup plus rares, sont des messagers de l’Univers dont les scientifiques peinent encore à retracer les origines. Répondre à cette question sur l’origine de ces particules d’énergies extrêmes, serait résoudre une énigme primordiale sur la nature des phénomènes ultra-violents qui se déroulent dans notre Univers.
Réalisation : Marcel Dalaise- Production : CNRS Images, 2016, 25 min.

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Particle Fever. La fièvre des particules

Imaginez-vous tel Edison lorsqu'il alluma sa première ampoule ou Franklin lorsqu'il reçut son premier coup d'électricité : La Fièvre des Particules permet au grand public d'être au premier rang de l'avancée scienti que la plus importante et la plus incroyable de tous les temps. Le film suit six brillants scientifiques durant le lancement du LHC (Large Hadron Collider), marquant ainsi le démarrage de la plus grande et la plus chère expérience scientifique de l'Histoire.
Réalisation : Mark Levinson - Production : David Kaplan - Distribution : Jupiter films, 2014, 99 min.

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Le mystère de la matière noire

Dans nos modèles physiques actuels, le poids de toute la matière connue et observable (étoiles, galaxies…) ne représente que 4 % de l’Univers. Une matière inconnue, invisible, peuplerait massivement le cosmos, et aucun outil n’a jamais permis de la détecter. Pour la première fois, nous partons à la découverte de cette « matière noire », dans l’espace, sous terre et dans les mers … 1ère diffusion sur ARTE le 13 décembre 2012 à 22h50
Réalisation : Cécile Denjean - Production : Scientifilms, ARTE France, CNRS Images et CEA Energies alternatives

 Voir un extrait (vidéo CNRS du vendredi 7/12/12)

 

Les deux têtes de Jannus

La plateforme Jannus (Jumelage d’accélérateurs pour les nanosciences, le nucléaire et la simulation) est dédiée à l'irradiation de matériaux par des flux de particules chargées. Ses principales applications concernent le domaine des nanosciences et le développement de matériaux pour le nucléaire. Cet équipement sans équivalent en Europe est ouvert à la communauté scientifique internationale, ainsi qu’aux industriels.

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M. Prudent découvre la radioactivité !

Dans l’espace, dans l’air, sur Terre et même dans notre corps, la radioactivité est partout. Elle peut être très utile : pour produire de l’énergie, traiter certains cancers ou mieux comprendre l’Univers. Mais elle est aussi une source de questionnements voire d’inquiétudes. A travers les interrogations de M. Prudent, qui s’inquiète des activités du Centre d'études nucléaires de Bordeaux Gradignan (CENBG) installé près de chez lui, ce film répond aux grandes questions de manière simple et ludique : qu’est-ce que la radioactivité exactement ? Où la trouve-t-on ? Quelles sont ses applications ? Comment permet-elle de produire de l’électricité ? Quels sont ses effets sur le vivant ? … (durée 12 min)

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Reportage IN2P3 sur Guinevere

Guinevere est le modèle à puissance réduite du premier démonstrateur mondial de "Systèmes pilotés par accélérateurs" (ou ADS pour "Accelerator driven system"). Ce projet d’ADS, appelé Myrrha, dont la construction est prévue dans les années à venir, contribuera dès 2022-2023 au développement de solutions novatrices aussi bien dans le domaine du nucléaire que dans ceux de la médecine, de l’industrie et des énergies renouvelables. Guinevere est le fruit d’une collaboration entre le SCK•CEN, le CNRS/IN2P3 et le CEA.

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In vitrum veritas

Pour lutter contre la fraude et la contrefaçon de bouteilles de vin prestigieuses, Hervé Guégan, directeur de la cellule Arcane du Centre d'études nucléaires de Bordeaux Gradignan - CENBG (CNRS, Université de Bordeaux 1), et son équipe ont mis au point une méthode infaillible de datation sans prélèvement. Un accélateur de particules de haute énergie permet d'analyser le verre de la bouteille et non le précieux contenu. Les mesures obtenues révèlent les composés chimiques du verre et permettent ainsi sa datation. Cette méthode pourra par la suite s'adapter à d'autres matériaux comme le papier ou la céramique et fournir ainsi un outil de certification d'objets anciens pour les expertises.

 Voir un extrait du film (vidéo du 25/09/2009)

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Les télescopes de l’invisible

L'acronyme Hess signifie "High energy stereoscopic system", mais constitue également un hommage à Victor Hess, physicien autrichien qui découvrit les rayons cosmiques en 1912. Hess désigne un ensemble de quatre télescopes installés en Namibie près du Gamsberg. En détectant les rayons gamma de très haute énergie grâce aux éclairs lumineux qu'ils produisent en interagissant avec l'atmosphère terrestre ("effet Tcherenkov"), l'expérience Hess apporte des informations précieuses sur des phénomènes parmi les plus violents de l'Univers. Les résultats obtenus dépassent les espérances. Dès 2009, un autre télescope, Hess 2, complétera les mesures dans une gamme d’énergie inférieure. Le projet a été initialement proposé, en 1997, par le Max-Planck-Institut für Kernphysik [MPI-K] de Heidelberg. Des chercheurs français ont rejoint l'équipe du projet au début de l'année 1998. Ce sont aujourd’hui plus de 100 scientifiques de neuf pays différents qui travaillent ensemble. Cet observatoire des rayons gamma de très haute énergie Hess a reçu le prix européen Descartes 2006.

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Poussières du pôle

À trois reprises entre 2000 et 2006, Jean Duprat, physicien au Centre de spectrométrie nucléaire et de spectrométrie de masse (CSNSM, IN2P3/CNRS - Université Paris-Sud), s’est rendu avec son équipe à Concordia, la base scientifique franco-italienne du Pôle Sud, afin d’y collecter des micrométéorites, en fondant la neige qui les contient. Le but de ces campagnes et des études qui les suivent (recoupant les données recueillies par Stardust, la sonde de la Nasa qui a rapporté fin 2006 des échantillons prélevés dans la queue de la comète Wild 2), est de comprendre grâce à des poussières témoins des premiers moments du système solaire primitif, comment notre étoile et son cortège de planètes se sont formées il y a 4,5 milliards d’années.

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L'expérience Atlas

Atlas est un détecteur géant de particules installé au Cern à l'un des quatre points de collisions du LHC, le plus puissant collisionneur de particules jamais réalisé, afin d'y analyser en détail tous les débris issus des collisions. Grâce à lui et à d'autres détecteurs, les physiciens espèrent trouver des éléments de réponse à certaines questions fondamentales : pourquoi les particules élémentaires ont-elles une masse ? pourquoi notre monde n'est-il fait que de matière, du moins c'est ce qu'il semble, et non d'antimatière ? Est-il possible de regrouper les quatre forces qui régissent notre univers dans une description unique ?
Une animation ludique et synthétique explique comment fonctionne le plus grand détecteur de particules, le géant Atlas.

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Les yeux d'Antares

Antares est un télescope sous-marin à neutrinos cosmiques installé en Méditerranée au sud de l’île de Porquerolles (Var). Les neutrinos sont des particules élémentaires qui interagissent faiblement avec la matière et peuvent ainsi parcourir de longues distances dans l’Univers sans être absorbées par les milieux intergalactiques. L’observation des neutrinos cosmiques constitue donc un moyen privilégié pour sonder l’intimité des objets astrophysiques très distants et obtenir une description de l’Univers lointain, de manière complémentaire au rayonnement électromagnétique. Elle pourrait également apporter, de façon indirecte, des informations sur la nature de la masse cachée de l'Univers.

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Puissances de dix

Puissances de dix est un documentaire américain réalisé par le couple de designers Charles et Ray Eames en 1977. Ce film propose un voyage entre l'infiment grand et l'infiniment petit en 9 minutes. Il permet de relativiser la notion de taille dans l'univers, et peut-être d'apprécier la place de l'homme. Le principe du film est que toutes les 10 secondes le champ de vision s'agrandit à la puissance de 10. Quand à la seconde 0 on voit une surface de 1 m x 1 m soit 100, à la seconde 10 on pourra voir une surface de 10 m x 10 m (101) et ainsi de suite. Le changement d'une puissance à l'autre est traduit à l'image par l'apparition d'un carré au contour blanc. C'est d'ailleurs pour cela que le format de l'image est un carré (1:1).

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