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Enseignement supérieur
Par décret, le ministère de la Recherche et de l'Enseignement supérieur est une tutelle de l'IN2P3 et est représenté dans le conseil de direction de l'Institut. Au travers de ses gros projets, qui s’appuient sur des laboratoires de différentes universités mis en réseaux dans le cadre de grandes collaborations européennes et internationales, l’IN2P3 permet aux universités et aux régions d’acquérir à travers ces projets une grande visibilité européenne et internationale.
De la même manière que l'Institut, adossé au CNRS, a des contracts objectifs/moyens avec le CNRS, l'Institut souhaite, à l'occasion des contrats quadriennaux et dans le cadre de l'autonomie des universités, contractualiser avec chacune d'elles à l’aide de la mise en place des contrats de laboratoires qui définissent les objectifs assignés et les moyens alloués par chacune des tutelles (Université et IN2P3/CNRS). Le suivi des contrats de laboratoires est chaque année assuré par un entretien annuel sur les résultats atteints par rapport aux objectifs, organisé par l'IN2P3 entre les responsables de l'IN2P3/CNRS, de l'Université, des autres partenaires et du laboratoire. De plus, l’IN2P3 réunit régulièrement les présidents d’universités accueillant l’un de ses laboratoires sur leur campus.
Les enseignants-chercheurs de l’IN2P3 participent naturellement à la formation des étudiants, que ce soit au niveau licence, master ou doctorat. En particulier, les laboratoires de l’IN2P3 attirent de nombreux doctorants français et étrangers, qui se forment par la recherche et parmi lesquels l’Institut recrutera ses jeunes chercheurs. En 2009, un effort extrêmement visible a été fait pour développer les formations aux métiers de l’énergie nucléaire. Les enseignants-chercheurs de l’IN2P3 ont été et restent des acteurs majeurs des différents projets dans ce domaine stratégique pour la nation.
Licences pro, masters, formations d'ingénieurs et écoles doctorales dans les thématiques IN2P3
Voir aussi : les formations françaises en énergie nucléaire sur le site de l’I2EN (Institut international de l’énergie nucléaire)
